note: j’étais en « transe » puis j’ai arrêté l’écriture en cours car les derniers mots m’ont fait revenir à moi et réfléchir à ce que que j’étais en train d’écrire. belle journéeDistinguer n’est pas amadouer.
À y réfléchir amplement cela revient à se dire que quiconque ment serait au service de sa majesté.
À y regarder de plus près, il n’y a rien à envier à celui qui sait.
Celui ci est cerné par multitudes de certitudes qui ne le mènent qu’au tréfonds du bout du bout sans jamais y regarder qui il fut été pendant tous ces étés.
Maintenant si telle était volonté de ne plus se distinguer afin de contempler, alors oui à ce niveau qu’il ne n’y vous y parait là oui c’est exister car ce n’est plus volonté mais un moyen d’exprimer.
À vous mes amis aimés, laissez être ce qui est. Oh pas sans jamais oublier mais lécher la vie. Oui lécher. Vous êtes choqués ? Oui mais ce n’est que ce mot désigné, quel intérêt d’y mettre valeurs.
C’est vous qui décidez. La raison choisissez là car c’est comme cela que se fait votre réalité. Par succession de choix déjà faits que vous contemplez. Exercez vous à contempler votre création en temps de l’instant. Plus proche qu’il ne vous y paraît. Pour quelle raison revenir tout le temps à cet instant. Car c’est le vôtre. Accordez y tout ce que vous êtes. Au delà de vos paraitres.
Maintenant que cela se fait, « désenchantez » ni ne vous moquer, aimez. Trouvez le ça et là en revient à dire n’importe quoi qui fera sens. Ces mots désuets emportent que celui qui souhaite les exprimer ou réfuter ce qui est. Le bon n’est pas le méchant. Il n’y a point d’instant d’accent. Recueillez vous chaque instant, en douceur. Si ce n’est que l’aube de la fraîcheur. Celle d’être né enfin pour exprimer enfin ce qui n’a pas de fin. Ni de commencement me direz vous. Exercez ce là chaque fois que vous doutez car ça en est plus « amusant » de s’y essayer.
Et oh les amis, ce que je vous dis vous parait vrai ? C’est à vous d’accueillir la réponse, là où il n’y en a pas. Vous pouvez toujours essayer. Faites au plus simple voyons.
Souhaiter pour exister, quel aveu. Terrible ? Non plus. Laissez vous emporter sur l’effluve, celle qui est là près de vous. Elle chante, danse, transmets.
Et en y regardant d’encore plus près, vous savez. Mais bon sang, le sang est il bon ?
Message écriture intuitive
17.11.18 Frédéric Rorai Medium
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